mercredi 23 juillet 2014

Big Bad Wolves (Aharon Keshales, Navot Papushado)

D'après Tarantino, il s'agirait du film de l'année 2013... Ah...

Israël (ou Palestine, je ne veux froisser personne), de nos jours. Un pédophile rode, traque, séquestre, viole, puis liquide ses victimes, des petites filles. Rien d'original, sauf que lui, à la fin, il garde les têtes. Bref. Un prof timide est soupçonné, on ne sait pas trop pourquoi. En effet, quand le film commence, l'enquête a déjà commencé : les flics sont sur le coup, chauds, toujours à la limite, et tentent par tous les moyens de faire parler ce pauvre type : séquestration hors du commissariat, gifles, intimidation, coups de bottin, etc...Petit problème : un jeune filme la scène avant de la balancer sur Internet.


Le père d'une des dernières victimes, toujours à la recherche de la tête de sa fille donc, décide de kidnapper le suspect dont le visage est désormais largement connu. Il l'attache au fond d'une cave et opte pour la torture. Va-t-il parler? Va-t-il réussir à s'échapper? Y aura-t-il du sang?

Voilà à quoi se résume le film de l'année 2013 pour Quentin Tarantino. Je n'y ai vu aucun intérêt. Mauvais dialogues, caricatures, manque de rythme, quasiment aucune tension, peu de suspense. Une fois arrivés au dénouement final, on se rend compte qu'en fait, au fond, on s'en fiche de savoir...

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